Un besoin d’autre chose que de l’entrainement en salle. Une forte envie de voir du vert et de grimper sur du caillou au milieu d’un hiver particulier. Avec Dimitry, nous optimisons un « mini créneau » de temps libre au Groupe pour foncer vers la reine des falaises.
Un
soleil généreux, un léger mistral pour une « collante » des bidoigts
parfaite, pas de bruit de voiture, pas de réseau… on est bien à Buoux !
Les
2 premiers jours sont utilisés pour concrétiser de jolis petits projets
(« Rêve de Papillon », « Docteur Jaques Hob ») mais
aussi pour se faire rappeler à l’ordre
dans des futurs projets encore plus jolis ;)
Le
troisième et dernier matin, nos doigts
légèrement broutés et nos petits muscles entamés nous incitent à
descendre d’une cotation. Nous choisissons « le pilier des fourmis »
au secteur homonyme.
Ces 4 longueurs (6a/5b/6b/7a) composent une véritable page de l’histoire de l’escalade libre. Ouverte dans les années 60 par P. Coquillon, R. Coulomb, J. Gay et D. Quiet. La dernière longueur et son terrible bombé furent libérés en 1980 par Jean Pierre Bouvier himself.
Ces 4 longueurs (6a/5b/6b/7a) composent une véritable page de l’histoire de l’escalade libre. Ouverte dans les années 60 par P. Coquillon, R. Coulomb, J. Gay et D. Quiet. La dernière longueur et son terrible bombé furent libérés en 1980 par Jean Pierre Bouvier himself.
Une
voie magnifique qui ne sera probablement jamais décotée.
Si
toutefois Buoux reste légèrement démodée, car l’escalade très forcue et les
cotations peu commerciales font mal à l’ego, vous aurez la chance d’y
passer des moments pleins de sens, loin de la foule et du stress.
Bonne
grimpe.